Le petit coin tranquille
Retour de visite au presbytère du Père Georges. Nous y avons mangé des chouquettes, vu des tableaux par dizaines et des gravures anciennes dans tous les recoins. Et il y avait un petit jardin. Nous sommes revenus avec des cadeaux. Et l'envie d'y retourner. Et puis nous avons enfin choisi les futures couleurs de notre chez-nous. Elles s'appellent Flower et Byzantine. Le papier peint, lui, sera tropical ! Dans quelques jours, les premiers coups de pinceaux fendront le vieux blanc, et tout se réveillera.
L'été sera fluo
Un petit tour chez Bonton avant que la famille ne décolle pour l'Afrique. Robe orange et marcel jaune, le chic à la française sera bientôt de mise à Cotonou.
Sinon, pour moi, c'est rose Dior sur les ongles, l'huile B.O.N.P.O.I.N.T et un savon 100 % naturel de la nouvelle marque E.N.F.A.N.C.E (il qui sent tout bon). Côté lecture, on s'aclate en lisant un nouveau bestiaire, et côté déco, on ne lasse pas du Liberty Theodora, désormais disponible sur les célèbres valises de chez M.E.R.C.I.
Esprit sain et fruits frais
Salades et jus de fruits home made, voici comment on tente de garder la ligne. On se fait plaisir grâce à l'arrivée d'une centrifugeuse à domicile. Et pour la bonne humeur, on sort la belle vaisselle. Et heureusement, la nourriture et la vaisselle, c'est photogénique !
Apprivoiser le soleil
Une répétition en plein dimanche après-midi m'a menée pas après pas au jardin des Tuileries, où un pot de glace devait me récompenser pour mon bon travail. J'ai pris straciatella / chocolat, mes deux parfums préférés chez Amorino. Puis je me suis assise devant le grand bassin. Il n'y avait aucun bateau, seulement des familles de canards. Puis, je suis rentrée par la place Vendôme et l'opéra, faisant halte chez Ladurée. Le vieux bus parisien, direction porte des Lilas, était garé devant le Palais Garnier. Je l'ai trouvé beau. Moi, je suis rentrée à pieds.
Fraises addict
On a mangé des fraises avec de la chantilly, des fraises avec des petites crèmes à la vanille, une charlotte aux fraises, des petits crumbles de fraises... On a bien vécu, et on en redemande. Puis sont venues les cerises.
C'est un peu la bonne nouvelle qui accompagne l'arrivée de l'été. Moi, les cerises, je les aime comme ça. Je ne les cuisine pas. J'aime aussi les attraper sur les étales. et Dieu qu'elles sont bonnes à la Grande épicerie de Paris, où j'ai passé quelques heures à me régaler... les yeux.
La fête des fleurs
Les fleurs du mois, c'est d'abord un petit col cousu par la Princesse au petit pois. C'est le rosier qui reprend vie tranquillement devant la fenêtre de la cuisine. C'est aussi un bouquet de chocolats prêts à être déguster. C'est enfin la recherche d'un papier peint unique, qu'il faut associer à la couleur idéale : un sacré défi.
Trop chou
Rentrer d'un cours de chant, un soir de juin, quand les terrasses du quartier Montorgueil sont pleines, ça donne une envie en particulier : s'arrêter chez Odette, le pays des petits choux. Ce que j'ai fait. Chocolat, vanille, thé vert et praliné, voilà le bilan de la course. Ça valait bien que je sorte mon présentoir fleuri. Le même qui trône sur la table de ma maison de poupées...
Nos pâtisseries préférées
Chez nous, on aime les desserts, et nous n'attendons pas les événements pour nous rendre chez nos artisans favoris. Au retour d'une longue balade avec le chien, d'un après-midi shopping, d'un cours de chant, ou de n'importe quel rendez-vous, j'aime aller chez la Fille du boulanger, notre pâtisserière de référence pour les éclairs (entre autres Paris-Brest), ou passer au comptoir du Merveilleux (le chocolat est notre favori). Parfois, je fais la connaissance d'un nouveau lieu de perdition. Un peu au feeling, en voyant l'enseigne ou la vitrine, le plus souvent guidée par la gourmandise. Ainsi, nous avons pu goûter les excellents Paris-Brest (la pâtisserie qu'on aime comparer) de la maison Collet, située depuis 1960 au 100 de la rue Montorgueil. Une adresse à retenir. Définitivement.
La fille du sixième étage
Il était une fois une nouvelle maison d'où on voyait les toits et un clocher. Une nouvelle maison qui donnait sur un long couloir et dont la porte la plus proche était celle d'un restaurateur de porcelaine. Il était une fois une maison dans un immeuble avec ses authentiques gardiens portugais et son porche fleuri, une maison à deux pas des Galeries Lafayette. Le parquet y était beau et la douche, toute neuve. Il y faisait bon, mais un peu triste. Alors ce fut l'occasion de voir de nouvelles têtes et de festoyer un peu : gaufres du côté de La Sorbonne, cheesecake au Wagon bleu de la Gare de Lyon, et créations de chez Bogato (uniquement pour les princesses).